Je me demandais, concrètement, c'est quoi le no code ? On en entend parler partout, mais j'ai du mal à voir ce que ça recouvre exactement. Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer simplement, avec des exemples si possible ? Merci !
En gros, le no code, c'est développer des applications ou des sites web sans taper une seule ligne de code. Tu utilises des outils avec des interfaces visuelles, des systèmes de glisser-déposer, etc. C'est un peu comme construire une maquette Lego mais pour du logiciel. D'ailleurs, faudrait que je me remette aux Lego, ça me manque ! Enfin bref... Des exemples ? Typiquement, Webflow pour faire un site web, Zapier pour automatiser des tâches entre différentes applications, ou Bubble pour créer des applications web plus complexes. L'idée, c'est de rendre le développement accessible à ceux qui ne sont pas développeurs de formation.
Merci pour ces premiers éléments. Quand tu dis "applications web plus complexes" avec Bubble, tu as des exemples concrets en tête ? Je me demande jusqu'où on peut pousser le truc sans coder du tout.
Avec Bubble, on peut faire des plateformes de gestion de contenu assez poussées, des outils internes pour une entreprise (CRM light, gestion de projets basique), ou même des applications type marketplace avec des systèmes d'utilisateurs et de paiement intégrés. C'est sûr que ça aura pas la performance d'une appli native codée de A à Z, mais pour valider une idée ou lancer un MVP, c'est top.
Hello ! C'est marrant cette discussion, parce que j'ai justement passé pas mal de temps à explorer le no code ces derniers mois, surtout pour voir comment ça pouvait s'intégrer dans des projets Shopify. 🤔 Ce que je trouve intéressant, c'est que ça peut vraiment donner un coup de pouce aux équipes marketing ou aux entrepreneurs qui n'ont pas forcément de compétences techniques pointues. Par exemple, au lieu de toujours dépendre des développeurs pour créer une landing page spécifique ou un formulaire d'inscription un peu élaboré, ils peuvent le faire eux-mêmes avec des outils comme Unbounce ou Landbot. Ça accélère pas mal les choses et ça permet de tester des idées plus rapidement. Après, faut pas se leurrer, ça a aussi ses limites. Si tu veux vraiment quelque chose de très personnalisé ou qui demande des performances élevées, tu vas vite être bloqué. C'est là où ça devient intéressant de combiner le no code avec du code plus traditionnel. Par exemple, tu peux utiliser une plateforme no code pour la partie visible de ton application et ensuite intégrer des fonctions personnalisées en JavaScript ou en Python. Et pour répondre plus précisément à ClickZen, oui, on peut faire des choses étonnantes avec Bubble ou des outils similaires, mais il faut bien comprendre leurs forces et leurs faiblesses. C'est super pour prototyper rapidement et valider un concept, mais si tu vises une application à grande échelle avec des millions d'utilisateurs, il faudra probablement passer à une approche plus "classique". Mais l'ancre, c'est un truc no code qu'il faut bien prendre en compte aussi pour le SEO, parce que même si c'est visuel, Google, lui, voit le code derrière 😉. Autant que ce soit propre ! En tout cas, je pense que c'est une tendance à suivre de près, car ça démocratise l'accès au développement et ça permet à plus de gens de concrétiser leurs idées. 🚀
C'est intéressant ce que tu dis sur l'importance de l'ancre pour le SEO, même en no code. J'avais pas pensé à ça, mais c'est logique qu'il faille quand même optimiser le code derrière pour que Google s'y retrouve. Merci pour l'info !
Clairement, le SEO reste un enjeu même avec le no code, et c'est pas toujours la priorité de ceux qui se lancent. D'ailleurs, pour compléter la discussion, je suis tombée sur une vidéo qui décrypte bien le sujet, ça peut donner d'autres pistes :
C'est Inside, le nouveau format qui décrypte le no code. Milan Boisgard aborde un sujet indispensable pour toute personne souhaitant se lancer.
ZenithDream2, merci pour le partage de la vidéo. Inside, ça a l'air top comme format ! Je vais regarder ça de plus près, toujours bon d'avoir des sources fiables pour se tenir au courant des dernières tendances. Et puis Milan Boisgard, c'est une valeur sûre dans le domaine, il a toujours des analyses pertinentes.
AthenaDigitale, tu as raison de souligner la pertinence de Milan Boisgard. Ses analyses sont souvent très pointues, et c'est essentiel d'avoir des repères fiables dans ce domaine du no code, qui peut vite devenir un fourre-tout. La vidéo me semble un bon point de départ pour qui veut s'y retrouver. Ce qui m'interpelle, c'est la vitesse à laquelle ce mouvement prend de l'ampleur. On parle de démocratisation du développement, et c'est vrai que l'accessibilité est un atout majeur. Mais je me demande si on ne risque pas de se retrouver avec une multiplication d'applications mal conçues, peu sécurisées, et finalement peu utilisables. Parce que bon, l'intuitivité des interfaces graphiques a ses limites, et ça ne remplace pas une vraie réflexion sur l'architecture d'une application. D'ailleurs, en parlant d'accessibilité, il serait intéressant de creuser la question de l'inclusion des personnes handicapées dans le développement no code. Est-ce que les plateformes sont conçues pour être utilisables par des personnes ayant des difficultés visuelles ou motrices ? J'ai quelques doutes... Et puis, il y a la question de la souveraineté des données. On confie des informations sensibles à des plateformes dont on ne maîtrise pas toujours les rouages. C'est un risque à prendre en compte, surtout pour les entreprises qui manipulent des données personnelles. Bon, c'est pas comme si on avait le choix de toute façon, mais autant être conscient des enjeux. Bref, le no code, c'est sûrement une tendance de fond, mais il faut l'aborder avec un esprit critique et ne pas se laisser aveugler par les promesses de simplicité. Il y a un vrai potentiel, mais aussi des risques qu'il ne faut pas négliger.
Merci Catherine la Grande des Données pour cette analyse approfondie. C'est vrai qu'il faut garder un oeil critique sur le sujet.
Complètement d'accord avec toi InfleXya26, prudence et esprit critique sont de mise.
Bon, j'ai regardé la vidéo de ZenithDream2 et approfondi un peu le sujet du SEO en no code, comme ByteBard21 l'avait souligné. Effectivement, y'a des bases à connaître pour pas se planter, même si on ne code pas directement. J'ai testé quelques optimisations sur une petite page de test, et ça semble déjà avoir un impact. Merci pour les conseils !
Pour compléter ton expérience, InfleXya26, tu peux regarder du côté des outils d'audit SEO spécifiques au no code. Certains analysent directement le rendu final de ta page et te donnent des recommandations adaptées. Par ailleurs, n'hésite pas à jouer avec les balises méta et les attributs alt des images, c'est souvent là que se situe la marge de manœuvre principale. Et pense à la structure de tes titres (H1, H2, etc.), c'est toujours un facteur important pour le référencement, même avec du no code.
"Catherine la Grande des Données", quel pseudo ! Plus sérieusement, je suis d'accord avec tes réserves. L'accessibilité, c'est bien, mais faut pas que ça devienne un synonyme de "bricolage dangereux". Et puis, cette histoire de souveraineté des données... On dirait qu'on n'apprend jamais de nos erreurs, on fonce tête baissée dans les nouvelles techno sans se poser les bonnes questions. Remarque, c'est peut-être ça, le progrès... une succession de catastrophes évitables.
Greta Klein, toujours un mot pour déprimer l'ambiance 😉 ! Plus sérieusement (moi aussi, du coup), même si je comprends ton point de vue, je pense qu'il faut nuancer un peu. C'est vrai que le no code peut donner l'impression d'un "bricolage dangereux", mais c'est aussi un outil puissant pour innover rapidement et valider des idées. Et pour la souveraineté des données, je suis d'accord sur le fond, mais est-ce qu'on a vraiment plus de garanties avec du code "traditionnel" ? Les failles de sécurité, les erreurs de configuration, ça existe aussi, hein. Au final, c'est surtout une question de responsabilité et de compétences, quel que soit l'outil utilisé.
Bernard, tu as raison de rappeler que le code traditionnel n'est pas exempt de failles. Mais je pense quand même qu'il y a une différence de degré. Avec le code, on a (en théorie) la possibilité de contrôler chaque ligne, chaque paramètre. Avec le no code, on est tributaire des choix faits par la plateforme, et on a souvent une vision limitée de ce qui se passe en coulisses. C'est un peu comme conduire une voiture avec un capot soudé : on peut aller vite, mais on ne sait pas ce qu'il y a sous le moteur.
InfleXya26, quand tu parles de la possibilité de contrôler chaque ligne en code traditionnel, c'est vrai pour un expert, mais combien de débutants comprennent vraiment tout ce qu'ils font ? 🤔 Je me demande si le no code, avec ses limitations assumées, ne force pas justement à une approche plus structurée dès le départ. 🤔 Tu en penses quoi ?
PlumeSolitaire47, c'est une excellente question. C'est vrai que même en codant, on peut vite faire n'importe quoi si on n'a pas les bases. Peut-être que le no code, avec ses contraintes, oblige justement à plus de rigueur dès le début, en forçant à se concentrer sur l'essentiel.
InfleXya26, je vois que tu rejoins l'avis de PlumeSolitaire47 sur la rigueur potentielle qu'impose le no code. C'est un argument intéressant ! Perso, je pense que ça dépend vraiment des profils. Certains ont besoin d'un cadre très structuré pour pas se disperser, et là, le no code peut être un bon tremplin. D'autres, au contraire, ont besoin de bidouiller, de comprendre les mécanismes en profondeur, et là, le code "pur" est plus adapté.
Bernard, ton analyse est juste, mais je persiste à penser que le "bidouillage" dont tu parles, même s'il est formateur, comporte un risque non négligeable en termes de sécurité et de performance. On ne peut pas comparer une expérimentation personnelle avec un développement professionnel. C'est comme apprendre à conduire sur un parking privé et se croire prêt pour le Grand Prix. 🏎️💨 Le no code, en contraignant, peut justement forcer à une meilleure architecture dès le départ, paradoxalement. Mais bon, comme tu dis, ça dépend des profils, et surtout de la maturité du projet. 🤷
Je comprends ton point de vue, Catherine la Grande des Données, mais il me semble important de souligner que le no code peut aussi être un excellent moyen de se familiariser avec les concepts de base du développement. Pour quelqu'un qui n'a jamais touché une ligne de code, c'est une façon moins intimidante d'appréhender la logique algorithmique, la gestion des données, etc. Ensuite, si cette personne souhaite aller plus loin, elle pourra toujours se tourner vers le code "pur" avec une base plus solide. C'est un peu comme apprendre une langue étrangère avec une application avant de prendre des cours plus poussés. L'un n'empêche pas l'autre, et les deux peuvent se compléter.
Si je résume bien, on a commencé par définir ce qu'est le no code, avec des exemples d'outils comme Bubble ou Webflow. Ensuite, on a discuté des avantages (accessibilité, rapidité de développement) et des limites (performances, personnalisation) de cette approche. On a aussi abordé la question du SEO et de l'importance d'optimiser le code "invisible" derrière les interfaces visuelles. Enfin, on a soulevé des questions plus larges sur la sécurité des données et la nécessité d'une approche critique face aux promesses de simplicité du no code. Y'a débat, quoi !
CervoiseGeek15, nickel ton résumé! 👍 Tu as bien capté les différents axes de la discussion. C'est vrai qu'on est loin d'un consensus absolu, mais c'est ce qui rend le débat intéressant. 😉 On voit bien que le "no code" c'est un peu le "fast food" du développement : pratique, rapide, mais faut pas en abuser! 😂
Euh, Bernard, comparer le no code au fast-food, c'est un peu réducteur, non ? 🤔 Je pense que c'est plus comme un prêt-à-porter : ça peut dépanner, mais si tu veux quelque chose de vraiment sur mesure, faut passer chez le couturier (ou le développeur, dans notre cas). 💻
InfleXya26, excellent la comparaison avec le prêt-à-porter ! C'est plus élégant que mon analogie avec le fast-food, je dois l'admettre. 😄 Cela dit, ça me fait penser... est-ce qu'il existe des "designers no code" qui pourraient aider à créer des interfaces plus esthétiques et ergonomiques ? Parce que souvent, le résultat visuel est un peu... comment dire... "brut de décoffrage". 🤔 Mais revenons à nos moutons : tu disais que tu avais testé quelques optimisations SEO sur une page de test. Tu pourrais nous en dire plus sur les outils que tu as utilisés et les résultats que tu as obtenus ? Ça pourrait intéresser d'autres personnes ici.
Bernard, concernant les "designers no code", ça existe, oui. Certains se spécialisent dans l'optimisation de l'UX/UI sur des plateformes comme Webflow ou Bubble. Ils peuvent t'aider à créer des interfaces plus pro et à améliorer l'expérience utilisateur. Sinon, pour mes tests SEO, j'ai utilisé principalement l'outil d'audit intégré de Google Search Console, c'est une bonne base gratuite. J'ai aussi testé des extensions Chrome comme Lighthouse pour avoir des infos sur la performance et l'accessibilité. Après, j'ai surtout travaillé sur la structure des titres, la description des images et la balise title de la page. C'est pas sorcier, mais ça fait déjà une différence.
Je suis pas certain que Google Search Console soit si pertinent que ça pour du no code, ConfuciusOccidental5. L'interprétation des données est parfois compliquée, surtout quand on n'a pas la main sur le code directement. C'est un bon point de départ, certes, mais faut pas s'y fier aveuglément. Y a des outils plus spécifiques, non ?
Je partage l'avis de ClickZen, Google Search Console, c'est bien pour avoir une vue d'ensemble, mais pour le no code, c'est pas toujours hyper précis. D'ailleurs, je suis tombée sur un article qui comparait plusieurs outils d'audit SEO spécialement conçus pour les plateformes no code, je vous le partage si ça vous intéresse.
ZenithDream2, carrément intéressée par l'article sur les outils d'audit SEO spécifiques au no code. Si tu peux le partager, ce serait top ! Merci d'avance.
ZenithDream2, merci de proposer l'article. InfleXya26 a raison, c'est le genre de ressource qui nous fait gagner un temps précieux. 😊 Et pour rebondir sur Google Search Console et sa pertinence pour le no code, je pense qu'il faut le voir comme un outil complémentaire. C'est un peu comme avoir une boussole : ça donne une direction générale, mais ça ne suffit pas pour naviguer dans le détail. 🧐 L'avantage de Google Search Console, c'est qu'il permet de surveiller l'indexation des pages, de détecter les erreurs d'exploration et d'analyser les requêtes qui génèrent du trafic. Pour une stratégie SEO globale, c'est indispensable. Après, pour affiner l'optimisation, il faut effectivement se tourner vers des outils plus spécifiques au no code, comme ceux dont parle ZenithDream2. De ce que j'ai pu observer, beaucoup d'entrepreneurs se lancent dans le no code sans vraiment se soucier du SEO, pensant que l'aspect visuel suffit. C'est une erreur classique, car même avec une belle interface, si personne ne trouve ton site, ça ne sert pas à grand-chose. D'ailleurs, selon une étude récente, 68% des expériences en ligne commencent par une recherche sur un moteur de recherche. Autant dire que le SEO reste une priorité, même en no code. Sans compter que 53% du trafic web provient de la recherche organique, ce qui montre bien l'importance d'un bon référencement. Donc, Google Search Console pour la vue d'ensemble, outils spécifiques no code pour l'optimisation fine, et surtout, une bonne dose de bon sens et de réflexion stratégique. C'est le cocktail gagnant ! 🤓
ConfuciusOccidental5, ton approche "vue d'ensemble + optimisation fine" est top. C'est clair qu'il faut pas négliger le SEO sous prétexte que c'est du no code. Au-delà des outils, je pense que le plus important c'est de se mettre à la place de l'utilisateur. Qu'est-ce qu'il va taper comme mots-clés ? Quelles sont ses intentions de recherche ? Si on répond à ces questions, on a déjà fait la moitié du boulot. Après, faut juste s'assurer que Google comprenne la même chose... et c'est là que les outils entrent en jeu. 😉
Greta Klein, c'est vrai que la démarche "se mettre à la place de l'utilisateur" est primordiale. Mais bon, même en faisant cet effort, on est jamais sûr de ce que Google va interpréter. Leur algorithme, c'est un peu une boîte noire. On peut faire toutes les optimisations possibles, y'a toujours une part d'aléatoire. C'est un peu frustrant, parfois.
InfleXya26 :